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Recherche par auteur : Glauser, Friedrich

7 résultats.

Lu par : Claude Fissé
Durée : 3h. 56min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16158
Résumé:
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 11h. 42min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15520
Résumé:Un roman flamboyant qui se déroule dans le milieu de la Légion étrangère et dans le Maghreb. Un livre qui n'a pu être publié intégralement qu'en 1980, qui nous montre la brutalité du monde militaire, milieu où la tendresse n'a pas cours où les êtres ressortent au mieux broyés au pire morts. Un livre où l'homosexualité, le suicide et l'amour sont abordés sans tabou.
Lu par : Claude Fissé
Durée : 6h.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 14702
Résumé:Quatrième de couverture : " L'inspecteur Studer, de la police cantonale de Berne, n'est qu'un " simple enquêteur, un homme plus tout jeune qui n'a rien d'extraordinaire. " Au fil du roman - autopsie d'un village confit dans son petit tas de secrets -, nous suivons son errance bonhomme, partageons ses doutes, ses faiblesses. Il ne nous en est que plus sympathique, ce Maigret helvète, qui, mine de rien, accouche faux coupables et vrais criminels en nous découvrant la face cachée d'un pays trop tranquille pour être honnête. Drôle d'atmosphère. Et quel exotisme ! "
Durée : 54min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19072
Résumé:Les Editions Zoé donnent aujourd'hui un reflet, dans la mesure où «La Légion étrangère» constitue un récit autobiographique. Glauser est né à Vienne en 1896. Il a fait partie des rares jeunes auteurs helvétiques à se frotter aux dadaïstes de Zurich. Le jeune homme est vite tombé dans la drogue, ce qui restait original à l'époque. D'où des larcins. Des emprisonnements. Des dépressions. Des tentatives de suicide. Un cycle infernal. Deux ans d'ennui. En 1921, Glauser entre à la Légion étrangère à Strasbourg. Le grand saut, ou ce qu'il croit tel. Il y passera deux ans. C'est la base d'un de ses romans, «Gourrama». «La Légion étrangère», qui restait inédit en français, en constitue l'envers biographique. Il n'y a rien là de sensationnel, alors même que la Légion faisait alors l'objet de multiples films d'aventures. La trame de ce livre très court, c'est l'ennui. Un ennui constant. Dispensé de marches pour raison de santé, l'Alémanique sera muté dans ce qu'on peut appeler l'administration. Il va y trafiquer sur les fournitures. On ne se refait pas. Glauser va parler des autres soldats, aussi dépourvus de pittoresque que lui. Son dernier chapitre s'intitule «Une fin peu romantique». Il se fait définitivement réformer. «On m'a démobilisé, avec cinq francs pour le voyage et un billet jusqu'à la frontière belge.» (http://www.tdg.ch)
Lu par : Maurice Hurni
Durée : 6h. 4min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 20156
Résumé:On retrouve dans Le Thé des trois vieilles dames tous les éléments de l'atmosphère inimitable des romans de Glauser : une intrigue policière fertile en meurtres et en rebondissements, mais qui cède le pas devant une vision profondément humaine du monde : la Suisse de l'avant-guerre, avec ici Genève, berceau de la Société des Nations ; et bien sûr l'obsession de la drogue, de l'occultisme, du mystère. Obsession qui donne à ces pages une résonance à la fois autobiographique et étrangement moderne, à un moment où l'émergence des sectes, un peu partout dans le monde, atteste, si besoin en était, la puissance et la persistance des forces destructrices de l'obscurantisme.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 5h. 58min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 11434
Résumé:Évoquant rétrospectivement l'histoire du Chinois, Jakob Studer, inspecteur de police, devait la baptiser l'affaire des trois atmosphères , parce qu'elle se déroula dans trois endroits totalement différents : une auberge isolée, un hospice pour déshérités, une école d'horticulture. Lien entre ces trois lieux : l'énigmatique figure de James Farny, assassiné d'un coup au coeur qui ne troue pourtant aucun vêtement, et dont Studer avait fait la connaissance par hasard quelques mois auparavant. Ses yeux en amande, ses pommettes hautes, sa moustache tombant au coin des lèvres avaient amené Studer à le baptiser mentalement le Chinois . Et c'est toute son histoire que l'inspecteur va progressivement reconstituer au cours de son enquête, traversant asiles, hospices, foyers et instituts pour adolescents - lieux d'une marginalité amère et résignée, qui furent, incidemment, ceux de l'existence même de Friedrich Glauser.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 7h. 6min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 15836
Résumé:" Un temps considéré comme le Simenon Suisse ". Ainsi l'éditeur parle-t-il de Friedrich Glauser, écrivain au destin bref et tourmenté dont la seule découverte suffirait à nous le rendre sympathique. Il est vrai que Studer rappelle Maigret par certains côtés. Pas tout jeune ; affublé d'une femme agaçante à force d'être parfaite, douce, attentionnée, discrète, intelligente. Mais les ressemblances s'arrêtent là. Malgré son expérience, Studer a gardé une naïveté, une capacité d'émerveillement devant les hommes, un coeur d'artichaud, bref, une humanité qui fait le charme de ce polar pas comme les autres. Le personnage est plein de petits paradoxes tranquillement assumés. Son enquête n'a pas la netteté d'un Agatha Christie, son univers pas le désespoir d'un grand roman noir. Il croit tenir l'affaire de sa carrière, mais hausse les épaules à la pensée de la vanité de la récompense. Attaché à sa Suisse natale, il est pourtant sans cesse en vadrouille, de Paris à Oran en passant par Besançon, puis dans les montagnes de l'Atlas qu'il traverse à dos de mulet, engoncé dans son imperméable...